RESPIRER EN SECURITE' 

PAR MARCO VALLARINO

APNEE ET SECURITE'

En ce qui concerne la sécurité il faut nécessairement parler de deux techniques qui ont des graves contrindications: l’hyperventilation et la respiration glotte-pharynx, ou “carpe”. La première a été heureusement abandonnée pendant que la deuxième est encore commune parmi les athlète qui font tout pour avoir de l’air en plus.

L’hyperventilation, est une succession de respires rapide set profonds, qui a été utilisée dans le passée par le champion Enzo Maiorca. Apres on a compris qu’elle était une technique à éviter pour raisons de sécurité.

L’hyperventilation, en effet, ne porte pas une quantité en plus d’oxygène mais au contraire réduit le niveau d’anhydride carbonique. La CO2, comme nous savons, est la substance qu’influe sur la régulation du respire, donc c’est ca que stimule les contractions du diaphragme quand on prolonge l’apnée.

Au début de l’apnée on se sent bien car le niveau d’oxygène est haut et ce de la CO2 est bas, mais quand le niveau de CO2 augmente le centre du respire stimule les contractions que le plongeur peut décider d’écouter ou d’ignorer.

C’est lequel le risque?

Le péril est représenté par le fait que si les contractions sont le signal de l’augmentation de la CO2, l’oxygène se réduit sans aucun signal. De ce façon l’oxygène arrive au minimum et le cerveau, se protège en se déconnectant du reste du corps, en causant le “samba”, ca veut dire des moments pendant lesquels le corps n’a aucune coordination neuromusculaire, qui précédent le black-out total.

A’ travers l’hyperventilation on réduit le niveau de CO2, donc les contractions sont retardées, et au même temps le niveau d’oxygène se réduit aussi, en courant le risque de faire arriver le black out sans préavis. C’est claire pourquoi cette technique est à éviter. On doit tout ca à  Jacques Mayol, qui à été le premier à utiliser les techniques de relaxation et respiration du Yoga dans l’apnée.

En ce qui concerne la respiration glotte-pharynx, qui a une valeur indisputable du point de vue de la réhabilitation dans le domaine médicale, selon les plus fameux médecins du secteur sous marin a des contrindications si pratiquée dans l’apnée.

A’ travers cette technique, en effet, on introduit air passivement dans les poumons, en la poussant avec un mouvement de la glotte, âpres une inspiration déjà au maximum. Ca comporte le risque d’une sur-distension pulmonaire, avec plusieurs graves conséquences  sur le corps.

LA RESPIRATION DANS LES DIFFERENTES DISCIPLINES LIEES A' L'APNEE

Dans les différentes spécialités de l’apnée pure, la chasse sous marine et autres sports sous marins, à seconde du type de prestation demandée, on peut adopter différents types de respiration avec des astuces spécifiques dans chacune.

En ce qui concerne l’apnée statique, par exemple, est très important avoir une respiration qu’aide la relaxation psychophysique et le dernière inspiration ne sera pas au maximum pour éviter de créer une tension des muscles thoraciques. Des athlètes arrivent à remplir les poumons à 100% car ils sont entrainés à le faire et ont un niveau d’élasticité de la cage thoracique non commune.

Dans l’apnée dynamique linéaire, avec ou sans les palmes, généralement est préférable de remplir les poumons à 70-80%, pour éviter le problème décrit dessus. C’est différent en cas d’apnée à poids constant et variable, parce que une plus grande provision d’air est utile pour gérer au mieux la compensation vers le fond.

En ce qui concerne la chasse sous marine, la prestation est répétitive et prolongée dans le temps et il faudra gérer au mieux la phase de récupération entre les immersions, en utilisant toujours une respiration diaphragmatique mais en préférant la phase abdominale dans la préparation afin d’utiliser seulement 3 ou 4  actes de respiration diaphragmatique complète avant le canard. Ca pour éviter d’hyperventiler et de courir le risque du TARAVANA si on plonge profond.

Dans chaque spécialité est très important que la première expiration âpres l’émersion soit brève et contrôlée, afin d’éviter une rapide réduction du niveau de pression partiale de l’oxygène et le risque de black-out. Seulement âpres avoir fait ca on pourra ventiler tranquillement. Cette procédure est fondamentale pour l’apnée.

CONCLUSIONS

Le respire est à la base de notre vie, améliorer sa fonctionnalité porte des plusieurs bénéfices: réduit le stress, augmente le niveau énergétique du corps, détend l’esprit, aide a se concentrer, fait un massage à travers le diaphragme sur les organes intérieures, aide à équilibrer le système neurovégétatif, prépare à la relaxation.

Si on ajoute tout ca à la passion pour la mer, en apprenant à retenir le respire sous l’eau nous aurions la possibilité d’explorer un nouveau monde non seulement au de hors mais aussi à l’intérieur de nous.

Notre corps est fait pour 75% d’eau, et avant notre naissance nous passons neuf mois dans un environnement liquide et avoir la possibilité d’y pouvoir rentrer, même si pour quelque minute avec une conscience nouvelle, peut être une expérience qui peut nous enrichir beaucoup.

Respirer, retenir le respire et plonger dans le bleu…

Si on apprend à écouter notre respire et à le porter à l’intérieur et à l’extérieur de nous, à le retenir en manière simple et agréable, alors quand on sera dans le bleu on pourra écouter un respire plus grand, ca peut être le respire de la mer. Ca peut être quelque chose d’autre… 

Droits d'auteur 2011